Tweetalig onderwijs in Frans-Vlaanderen

Een internetter ("Rouari") van een andere regio - op Den Draed - schreef:

(...) Que faire ? L’ouverture d’une école privée néerlandaise en Flandre française serait-elle mal perçue ? Quel scandale si elle faisait venir des enseignants… de Belgique?
Rédiger un guide grammatical pratique d’une trentaine de pages, grand public, sur le thème “du dialecte à la langue standard” ou “flamand de France et néerlandais commun” ? (...)

http://www.dendraed.com/le-flamand-de-france-sur-le-reseau-de-dk-bus-marine/

la voix du nord schreef:27/11/2012

Marcq-en-Baroeul (Rijsel)

Een nieuw gebouw voor de tweetalige school
De kinderen zijn enthousiast!

http://www.lavoixdunord.fr/region/ecole-bilingue-jeannine-manuel-hier-le-primaire-est-jna22b0n857258

Nord Eclair schreef:23/06/2011

Un lycée réparti en fait sur trois établissements du primaire au lycée et qui offrira un enseignement véritablement bilingue français-anglais. Pour le recteur, c'est un gage d'attractivité pour la métropole.

Pour la première « fournée », c'est le bouche-à-oreille qui a fonctionné. Il faut dire que Marie-Jeanne Philippe, le recteur de l'académie de Lille, avait fait germer l'idée dans quelques oreilles qui se sont montrées très intéressées. Auprès des universités qui accueillent des chercheurs et enseignants étrangers soucieux d'offrir une scolarité la plus multilingue possible à leurs enfants, du côté du comité Grand-Lille où on ne laisse jamais passer la moindre opportunité de renforcer l'attractivité de la métropole, à la Chambre de commerce, à l'Eurométropole, bref un peu partout où on côtoie des étrangers venus travailler à Lille.

L'idée a d'autant plus vite séduit qu'« il y avait une demande depuis longtemps », confirme Marie-Jeanne Philippe. Au-delà des classes européennes qui existent depuis maintenant une bonne dizaine d'années, c'est tout un « parcours complet du primaire à la terminale qui intéressait les familles, où l'anglais soit tout aussi présent que le français comme langue d'enseignement ». Une scolarité à véritable égalité linguistique.

À la différence des lycées français à l'étranger où, généralement, tous les niveaux sont réunis en un même lieu, on ne va pas construire un nouvel établissement à Lille et aucun de ceux existant n'offrait l'espace pour accueillir toutes les nouvelles classes du lycée international. Elles seront donc réparties entre trois établissements lillois (...)

« À la rentrée 2011, nous ouvrons donc la moitié du cursus », précise Marie-Jeanne Philippe qui s'avoue, elle-même, surprise par les demandes des familles. (...) Versailles et Marseille étaient déjà dotés de tels établissements. Marie-Jeanne Philippe en est persuadée, « pour une ville internationale comme Lille, c'est une évidence ».

http://www.nordeclair.fr/Actualite/2011/06/23/lille-aura-son-premier-lycee-internation.shtml

Nord Eclair schreef:10/10/2011

Marcq-en-Baroeul (Lille)

Extension de l'école bilingue français-anglais Jeannine-Manuel

« L'école a pour mission de promouvoir la compréhension internationale par la culture bilingue et le brassage des cultures. Elle devait commencer par une école primaire, a rappelé Bernard Manuel, fils aîné de Jeannine et président de l'établissement. Les circonstances n'ont pas permis de le faire. » Le secondaire s'est établi en premier à Marcq, grâce aux efforts conjoints de tous les élus, Serge Charles et Pierre Mauroy en tête, a résumé Bernard Gérard, maire de la ville, en présence d'Éric Durand, maire de Mouvaux et président du SIVOM qui s'est investi dans la partie actuelle de l'école.

Le primaire a été ouvert il y a huit ans. Mais les locaux étaient à saturation. Après quatre ans d'effort pour franchir les obstacles administratifs (...)

http://www.nordeclair.fr/Locales/Lille/Environs/2011/10/10/extension-de-l-ecole-jeannine-manuel-bil.shtml

een Internetter - op de blog Les Européens du Grand Lille - schreef:27/01/2009

L’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai fête son premier anniversaire !

Tout cela semble bien enthousiasmant, surtout en termes de perspectives d’emplois, puisque Lille se donne une respectabilité nouvelle. Mais j’ai fort l’impression cependant, qu’on élude la question, qui risque de fâcher à très court terme, à savoir la connaissance du néerlandais, langue quasi-ostracisée dans le marché du travail lillois.

Quand on sait la susceptibilité des Flamands de Belgique à ce sujet, je m’étonne que la question de la généralisation de l’enseignement du néerlandais dans la communauté urbaine de Lille n’ait pas été encore évoquée... La solution serait-elle d’accorder au néerlandais, à Lille, un statut privilégié comme l’allemand en Alsace ?

http://grandlille.eurosblog.eu/spip.php?article9

Sophie Babault schreef:

Faire le choix d’une scolarisation transfrontalière
dans la langue du voisin :
Le cas du « département Nord/Wallonie/Flandre occidentale »

(...)

Conclusion
Au-delà de la spécificité de la démarche et du cheminement de chaque famille, les choix d’une scolarisation transfrontalière dans la langue du voisin témoignent tous de l’émergence, chez les familles concernées, d’une perception globale de l’espace. La notion de frontière n’est bien sûr pas absente des représentations de ces familles, mais elle y prend une signification nouvelle en devenant synonyme d’ouverture et d’élargissement du champ d’action individuel, qui prend finalement le pas sur les cloisonnements institutionnels et politiques. (...)

Les démarches de ces familles fournissent également matière à réfléchir sur le plan de l’aménagement linguistique et éducatif. Si la scolarisation transfrontalière vers un cursus immersif en Belgique révèle un manque manifeste d’offre de ce type du côté français, le choix de la submersion laisse lui aussi percevoir des attentes familiales auxquelles aucune réponse institutionnelle n’est apportée, que ce soit au niveau de la frontière interne à la Belgique ou de part et d’autre de la frontière franco-belge. On ne peut que saluer le courage de l’ensemble des membres de ces familles, parents ou enfants, qui relèvent le défi d’une scolarisation exclusivement en langue étrangère au sein d’un groupe d’enfants locuteurs de cette langue. Au-delà des difficultés d’ordre scolaire ou social qui peuvent parfois se présenter, les familles sont également contraintes à des choix ou plus exactement à des renoncements, pour pouvoir bénéficier des avantages de la submersion. Il s’agit, par exemple, de renoncer à ce que les enfants aient une approche approfondie de leur L1 dans le cadre scolaire, ou encore d’accepter que certains contenus soient absents de leur programme d’enseignement.

http://ressources-cla.univ-fcomte.fr/gerflint/France4/sophie.pdf

DailyNord schreef:23 juni 2014

Patrice Vergriete: "Ik heb een droom:
een Frans-Belgische tweetalige universiteit oprichten"

DailyNord: Hoe situeert u zich tussen de Opaalkust en Rijsel?

Patrice Vergriete: De link met de Opaalkust bestaat, dankzij Michel Delebarre. Ik wil verder gaan, met name met de thema's als havens, toerisme, innovatie / onderzoek, enz.

Vergeet de Belgische zijde niet. Ik verwacht veel van het EU-voorzitterschap van Luxemburg om grensoverschrijdende experimenten te ontwikkelen. Ik heb een mooie droom, maar ik heb de kwestie nog niet verder bestudeerd: de Université du Littoral moet beter worden gesteund. Ze is een beetje 'middelmatig'. Idem in West-Vlaanderen. We zouden een Frans-Belgische tweetalige universiteit met laboratoria in beide landen moeten oprichten. Een universiteit met een Europese status? En waarom niet ook drietalig, met de andere kant van het Kanaal?

http://dailynord.fr/2014/06/patrice-vergriete-dunkerque-2/  

de stichting Ons Erfdeel schreef:dinsdag 1 juli 2014

De burgemeester van Duinkerke
droomt van een tweetalige universiteit

De nieuwe burgemeester van Duinkerke, Patrice Vergriete, deed in een interview op de Noord-Franse nieuwssite DailyNord een interessant  voorstel. Vergriete droomt van een grensoverschrijdende Frans-Belgische universiteit. Het zou volgens de burgemeester een tweetalige universiteit moeten zijn, of zelfs een drietalige, als men er ook partners van over het Kanaal bij zou betrekken. De droom van burgemeester Vergriete doet me denken aan die van oud-burgemeester Delobel van Belle, die droomde van een tweetalige (F/N) Europese school in Belle. Helaas is dit project nooit gerealiseerd, maar Belle deed wel grote inspanningen voor het Nederlands in het lager en middelbaar onderwijs en is ook de standplaats van het Huis van het Nederlands.

Duinkerke is erg lang vooral in de richting van Parijs blijven kijken. Het is dan ook hoopvol dat de nieuwe burgemeester, die inmiddels ook voorzitter van de Communauté Urbaine is geworden, droomt van samenwerking met [Belgisch] Vlaanderen. Als vroegere directeur van de Agence d’urbanisme de Dunkerque heeft hij trouwens wel wat ervaring met de samenwerking met de provincie West-Vlaanderen.

http://www.onserfdeel.be/nl/blogs/detail/de-burgemeester-van-duinkerke-droomt-van-een-tweetalige-universiteit